samedi 19 mai 2012

Dentelle et franges

En ce moment je regarde la série Miss Fisher murder mysteries qui se passe dans les années 20 à Melbourne. D'ailleurs je ferais mieux de dire "je regardais" parce que je vais voir le dernier épisode ce soir. Bouhou !
Mais là n'est pas le point.

Phryne, l'héroïne, porte toujours des tenues différentes et toutes aussi excentriques, vintages et sexy les unes que les autres. Elle me donne envie de porter des diadèmes et des chapeaux de feutre, de me re-faire un carré et de porter du rouge à lèvre pétillant. Voire même de cacher des couteaux dans mon porte-jarretelles. Ce qui ne me servirait strictement à rien, convenons en, puisque je ne sais pas les lancer. Et si ça fait pas hyper classe de sortir un couteau de dessous sa robe pour couper son steak, ce n'est pas non plus très hygiénique...

Mais je m'égare.

Revenons à nos moutons et surtout à nos franges. Parce que vous allez me dire que les franges c'est cinquante ans plus tard qu'elles sont devenus in.
La dentelle par contre...

Maman m'a acheté ce haut qui combine dentelles et franges dans un dépôt-vente et je me demandais bien comment je pourrais le porter. Parce qu'en plus d'être court sur le ventre et bien ajouré, les franges le rendent juste impraticable, vraiment pas ergonomique. Imaginez le calvaire pour aller faire la petite commission et pour manger sa soupe ! Je n'ai pas mangé de soupe aujourd'hui mais la première situation décrire a été chiante a gérer.



 
Haut; Froggy, 2€ dans un dépôt-vente.
Débardeur; Xanaka, 2€ au dépôt-vente Terre des enfants.
Denim;  Morgan, 2€ au dépôt-vente Terre des enfants. 
Escapins velour; Myma, récupéré de Maman.
Cartable; marque inconnue, récupéré de Maman.
Chapeau ; marque inconnue, récupéré de Maman.


Vernis ; A lovely secret de Essence.
FAP ; 37-54 de Master colors.




Bijoux ; frabriqués par Maman. 



En espérant que ce look un peu vintage vous aura plu, on se retrouve lundi pour le défi make-up. Ou avant si on arrive à 50 abonnées Hello coton pour la fameuse surprise ;-)
Bises,
 Inès

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